Drima

6 nov. 20192 Min

Drimaventure 2019 - Jours 7 & 8

Jour 7 - Changement de décor

Nous sommes réveillés par le bruit du poêle qui ne tarde pas à réchauffer l’intérieur de la yourte. Un à un, les Drimaventuriers s’extirpent de leur duvet, les yeux encore gonflés par une nuit de sommeil.

Le temps des au revoir est arrivé. Le maître des lieux, un homme grand et un peu vouté, s’essaie à la traction de la pulka et s’en sort très bien. Son épouse pousse des éclats de rire, le visage emmitouflé dans un tissu qui ne laisse entrevoir que les yeux. Chaude ambiance et forte émotion pour ce départ matinal sous un grand ciel bleu. Nos hôtes offrent des fromages de chèvre bien secs aux Drimaventuriers. Les derniers kms de cet immense plateau seront bientôt derrière nous.

A l’heure du déjeuner, les Drimaventuriers rejoignent l’orga à la sortie du massif montagneux. Des nomades y ont installé un petit camp pour les voyageurs de passage. L’eau, présente à cet endroit, a permis de constituer une sorte d’oasis où poussent des légumes et où il fait bon se reposer. Les Drimaventuriers s’installent dans une sorte de salon de jardin ombragé et clos.

La piste s’étend à perte de vue. En l’espace de quelques heures le paysage est transformé. Le plateau montagneux a laissé place à une vallée sans fin, légèrement enherbée, avec d’un côté la montagne et de l’autre des dunes. D’un seul regard, les paysages offrent une variété de vues étonnante.

Jour 8 - La découverte des Khongoryn Els

En fin de matinée, les Drimaventuriers arrivent au point de rencontre fixé avant le départ ; un petit camp aménagé par des éleveurs de chèvres et chameaux.

Ce camp est une étape importante. Il permet à l’organisation de faire un réapprovisionnement en eau et carburant au petit village situé à 25 kms au sud. Pour les Drimaventuriers, c’est une nuit dans le confort d’une yourte qui s’annonce ainsi qu’un bon repas. Cerise sur le gâteau, il y a une douche.

L’après-midi est consacré à la visite touristique des lieux : les magnifiques dunes de Khongoryn Els qui culminent à 300 mètres de haut, ce qui en fait les plus hautes du monde. Le lieu est propice à l’élevage. L’eau est omniprésente et l’herbe pousse à volonté.

    0